14 juillet : "Comment cultiver son jardin sans chimie ?"

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  • par OR

Autour des installations artistiques de la Terrasse du troc, des rencontres sont proposées aux habitants et visiteurs de Saint-Jean.

Ces moments d’échanges conviviaux ont pour but d’informer et de mieux expliquer les démarches poursuivies par l’association des amis de la Terrasse du troc, mais aussi de récolter des témoignages, et de pouvoir débattre des questions soulevées par les thèmes abordés.

Les jardins de la Terrasse du troc ont soulevé dans un premier temps - le 7 juillet - la question des besoins et des avantages du jardinage en ville, et de la recherche d’espaces appropriés.
Nous abordons cette fois un autre aspect du jardin, celui du respect de l’environnement.

Vendredi 14 juillet à 19h

 Comment cultiver son jardin sans chimie ?

 Pourquoi se passer de produits chimiques et comment faire autrement avec autant d’efficacité ?

Avec

 Luc-Eric Revilliod, adjoint de direction au SEVE
 Claude Mudry - Jardins de Cocagne
 Gabriel Benichou, jardinier de la Terrasse du troc

 Dès 21h projection du documentaire

  "Le jardin planétaire" de Gilles Clément - 52’

Gilles Clément, né à Argenton (Indre) en 1943, est un jardinier, un architecte-paysagiste et un écrivain.
Ingénieur agronome de formation et enseignant à l’École nationale du paysage de Versailles est l’auteur d’une théorie du « jardin planétaire », qu’il appelle le jardin en mouvement : c’est-à-dire qu’un paysage n’est pas figé, au lieu de cantonner les plantes dans un lieu précis afin d’organiser une création, il laisse les plantations « redessiner » en permanence le jardin qui aujourd’hui a telle forme qui ne sera pas la même au même endroit à la prochaine floraison. Il se montre donc favorable au métissage des espèces, qu’il appelle plutôt brassage, et qui s’est tissé au fil des âges. D’où cette idée de jardins et de forêts planétaires qu’il cultive en protecteur, considérant autant avec bienveillance les herbes folles, qui tentent de pousser les pavés hors de la stérilité des cités, que les essences les plus rares plantées en parcs prestigieux. Il intégre la globalisation du monde actuel par la « planétarisation » de la terre comme jardin, c’est-à-dire comme lieu de vie « Je voudrais montrer la diversité extrême de ce qui existe sur la planète ». Source : Wikipédia